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  • La politique anti-voiture initiée à Paris en 2001 n’a toujours pas produit de résultats significatifs dans la lutte contre la pollution puisque, générant des embouteillages sans améliorer parallèlement l’offre de transports souterrains, elle congestionne sans fluidifier.

    Mais ces mesures sans cesse durcies sont devenues comme un réflexe identitaire chez les socialistes et les Verts parisiens. S’ils sont de gôôôche et progressistes, c’est parce qu’ils luttent contre l’affreuse bagnole, synonyme d’individualisme. La ville peut bien s’endetter et s’encrasser, au moins leur reste-t-il ce marqueur pour complaire à leur électorat de bobos qui envisagent sans trop de déplaisir de se contenter de Vélib’ pour aller de leur agence de com’ à leur appartement près du Canal Saint Martin. Non, je ne caricature pas, je les ai vus à l’œuvre comme élu parisien pendant des années …

    Cet égoïsme paré des plumes du bon sentiment écologiste a été récupéré par des politiciens cyniques avec Delanoë et Hidalgo pour chefs de file. Gros problème : comme tout penchant dogmatique, il a tendance à se durcir et verser dans l’outrance et l’intransigeance à mesure que ses résultats font défaut.

    C’est très exactement ce qui est en train de se passer avec la fermeture de la voie expresse rive droite qui sera la goutte d’eau qui fera déborder le vase des engorgements de Paris. Après tout, laissons Hidalgo faire : il est bon que ceux qui gobent sa propagande finissent par souffrir avec les autres.

    Dernière facétie en date : l’interdiction des véhicules immatriculés avant 1997. Peu importe si leurs contrôles techniques révèlent qu’ils ne polluent pas plus que les autres. Peu importe surtout si rien n’est fait, une fois encore, pour offrir des solutions alternatives à leurs propriétaires. C’est la répression qui tient lieu d’action.

    Qui en sont les victimes ? Tout le monde s’en est rendu compte, ce sont d’abord ceux qui n’ont pas les moyens de s’acheter des véhicules neufs ou plus récents. « Salauds de sans dents !», crie Hidalgo pour actualiser la formule de Gabin avec les mots de l’ami du peuple actuellement enkysté à l’Elysée.

    Il leur faudra se contenter, s’ils ne peuvent plus se déplacer en voiture, de serrer les dents qui leur restent quand même dans des transports malcommodes. Ou de solliciter, s’ils ont quinze ans devant eux et du piston, un des logements sociaux que la mairie fabrique pour y parquer sa clientèle électorale. Sinon, bah … ils n’avaient qu’à être des bobos comme les autres.

    Autre population malmenée : les propriétaires de voitures de collection, placés encore plus haut sur l’échelle de la détestation socialiste.

    Avec un peu de recul, on se dit qu’une fois encore cette engeance politicienne aura raté le virage technique et social qui se négocie sous nos yeux. Le transport individuel, via la voiture automatisée, est l’avenir ; le transport collectif, peu modulable, coûteux et syndicalisé, appartient au passé.

    Croyant être innovants, Hidalgo et ses sbires sont en réalité ringards et en retard d’une guerre. Ils s’en prennent aux véhicules d’antan sans comprendre que la liberté qu’ils symbolisent et qu’il faut à tout prix respecter est le seul guide fiable pour élaborer les solutions du futur.

    Serge Federbusch


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